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الثلاثاء، 3 ديسمبر 2019


  La motivation en lecture




Par ailleurs, il ressort que le niveau de scolarité de la mère contribue individuellement au rendement dans la langue d’enseignement au secondaire à 15 ans, même une fois contrôlés la motivation intrinsèque moyenne en lecture au primaire et le degré de réussite en lecture en 1re année du primaire, entre autres facteurs. Les aspirations des parents pour leurs enfants sur le plan scolaire et l’accompagnement parental tout au long du parcours scolaire pourraient être invoqués pour expliquer ce résultat.

Les élèves davantage motivés en lecture au primaire sont plus susceptibles d’obtenir des résultats scolaires se situant dans la moyenne ou au-dessus de celle-ci en langue d’enseignement à 15 ans, et cela, même lorsque l’on contrôle le sexe, le milieu socioéconomique, la langue d’usage à la maison et les aptitudes en lecture au début du parcours scolaire

L’intérêt de l’enfant pour les livres en bas âge prédit le niveau de motivation en lecture au primaire, et cela, même après avoir pris en compte le sexe, le milieu socioéconomique et les langues les plus souvent parlées par les parents à la maison ainsi que le degré de réussite en lecture en 1re année du primaire.

Toutes proportions gardées, les élèves francophones à risque de décrochage scolaire ayant des problèmes de discipline sont plus nombreux à ne pas lire pour le plaisir que leurs pairs sans problème de discipline. Ces derniers ont, à leur tour, tendance à être proportionnellement plus nombreux dans cette situation que les élèves francophones non à risque de décrochage

Consacrer trois heures par semaine à lire pour le plaisir est associé à une motivation, un sentiment de compétence et un rendement scolaire plus élevés non seulement en langue mais aussi en mathématiques

Les élèves francophones de 15 ans qui lisent pour le plaisir au moins une heure par semaine présentent un score moyen d’autorégulation des apprentissages plus élevé que ceux qui lisent moins fréquemment, c’est-à-dire qu’ils sont, par exemple, plus enclins à planifier leur temps d’étude ou, quand ils étudient, à faire des liens entre les informations reçues dans le cours et les lectures effectuées

Parmi les jeunes francophones de 15 ans, on retrouve davantage de grands lecteurs chez les filles que chez les garçons et chez les élèves dont la mère possède un diplôme universitaire que chez ceux dont la mère possède un DES ou moins. Par contre, le nombre d’heures passées à lire par semaine pour le plaisir n’est pas lié significativement au niveau de revenu du ménage ou au degré d’aisance du quartier


 Il est maintenant bien reconnu que de bonnes habiletés en lecture jouent un rôle essentiel dans la réussite scolaire

الجمعة، 29 نوفمبر 2019

SOUTENANCE D’UN MEMOIRE DE MASTER

SOUTENANCE D’UN MEMOIRE DE MASTER

CRITERES D’EVALUATION DU MEMOIRE ET DE LA SOUTENANCE
1-      Critères à prendre en compte pour évaluer la qualité scientifique du mémoire (fond)

· Le mémoire ne doit pas être court pour condenser le travail et ne doit pas être long pour diluer
l’essentiel de l’étude (40 à 60 pages).

· Définition de la problématique, des hypothèses de recherche;

· Qualité et pertinence de la recherche bibliographique et de son exploitation;

· Adéquation entre la problématique posée et les moyens mis en oeuvre pour y répondre;

· Méthodologie de travail (originalité, robustesse, esprit critique, pertinence) ;

· Qualité de la discussion, de l’analyse et de l’interprétation des résultats ;

· Réflexions sur les implications des résultats dans un contexte « global » ;

· Pertinence du résumé, de l’introduction et des conclusions;

· Capacité de raisonnement, clarté, esprit de synthèse;

· Fiabilité et qualité des résultats;

· Rigueur scientifique.
2-      Critères à prendre en compte pour évaluer la qualité rédactionnelle du mémoire (forme)

· Structure générale du mémoire (parties, chapitres, ….);



· Equilibre entre les différentes parties et composantes du mémoire.


· Syntaxe, grammaire et orthographe;


· Titre, introduction, développement structuré, conclusion, bibliographie et annexes;


· Positionnement du travail par rapport à la littérature (bibliographie)


· Travail construit autour d’une problématique claire et pertinente


· Rigueur rédactionnelle, homogénéité; logique dans l’enchaînement des chapitres;


· Clarté et qualités des figures, schémas et des tableaux;


· Nombre, périodes et exploitation des références bibliographiques;


· Cohérence des méthodes et de la présentation des résultats


· Présentation de la méthodologie et exploitation des données, références, mesures, …….


· Qualité de l’analyse et de l’argumentation
Appréciation de la présentation orale :

· La soutenance orale a pour but d’évaluer la capacité de communication et de réflexion du
candidat. Les critères à prendre en comptes pour son évaluation incluent, dans des proportions
variées:

· Capacité à rendre compte de la démarche exposée dans le mémoire

· Qualité de l’exposé (langage, prononciation, …..) ;

· Qualité du support de l’exposé (diaporamas: illustrations, graphiques);

· Respect du temps alloué.

· Clarté, esprit de synthèse;

· Capacité de l’étudiant à répondre aux questions et à défendre son travail devant le jury;

· Précision dans les réponses aux 

Rédiger et soutenir un mémoire avec succès


Rédiger et soutenir un mémoire avec succès



Quels sont les éléments les plus importants pour obtenir
une bonne note ?

Le jury prend en compte aussi bien le fond que la forme du travail
qui lui est présenté.

Comment construire une bibliographi ? Il

faut donc absolument indiquer tous les éléments qui permettront
cette quête.

Comment construire sa conclusion ?

Le principal objectif de la conclusion est de faire le point sur ce
qu’était l’idée de départ, et sur ce qui devait être résolu dans le
mémoire.

Comment construire son introduction ? Il

faut, dans tous les cas, partir de la définition très générale de la thématique,
pour ensuite préciser au maximum le sujet qui sera traité
ainsi que la manière dont il sera traité (l’annonce du plan).

Combien de sources doit-on citer ?

il faut compter environ 30 à 50 références pour un master
1re année, et de 50 à 80 pour un master 2e année.

Où prendre les informations ?

Il en va ainsi des dictionnaires
Les bibliothèques
Le catalogue du Système universitaire de documentation
la base de données Delphe

Peut-on mener ses recherches sur Internet ?

L’étudiant satisfait aura trouvé de nombreux sites traitant de sa
problématique,

À quelles sources faire appel ?

L’étudiant doit également
compulser des manuels, des articles parus dans des journaux spécialisés,
des rapports ou autres mémoires.

Quelle est la place de l’objectivité
et la subjectivité dans le mémoire ?
l’objectivité a tout de même sa place dans le mémoire.
Si l’on admet qu’un mémoire laisse la place à une certaine subjectivité

Quelle est la place de la théorie par rapport à la pratique ?

◗ La théorie permet de poser les fondamentaux de la problématique
abordée et de raisonner sur des bases plus sûres.
◗ La pratique vise plus particulièrement à vérifier que les résultats
fournis par la littérature sont fondés.

Quelle est la meilleure manière de demander de l’aide
à un professionnel ?

La meilleure manière de demander de l’aide à un professionnel est
certainement de lui montrer que l’on peut éclaircir certains des problèmes
qu’il rencontre.

Qu’est-ce qu’une (bonne) problématique ?
Faut-il plusieurs problématiques ?

il s’agit de déterminer une
question qui se posera face à un domaine particulier. Pour être pertinente,
cette question devra passer à travers certains filtres destinés à
vérifier que la problématique est bien valide.

Est-il possible que deux étudiants choisissent des sujets
de mémoire identiques au sein de la même promotion ?

Avoir deux sujets identiques au sein d’une même promotion n’est
pas un handicap. Au contraire, cela peut aider les correcteurs, si ce
sont les mêmes, à évaluer les mémoires l’un par rapport à l’autre.

Quels sont les enjeux du choix du sujet ?

Les enjeux du choix du sujet sont multiples. Premièrement, en choisissant
un sujet qui l’intéresse, l’étudiant se lassera plus difficilement
et éprouvera de l’intérêt à le traiter.
Deuxièmement, le sujet du mémoire peut être inscrit sur un CV et
attirer l’attention d’un futur recruteur.


l’or bleu


l’or bleu
Un peu moins de la moitié de l’eau nécessaire est apportée
par les aliments qui fournissent environ 1 litre d’eau au
corps chaque jour. La teneur en eau des aliments est très
variable. Tous les aliments contiennent de l’eau, en plus ou
moins grandes quantités, sauf le sucre (100% de glucides)
et l’huile
Le corps humain ne peut pas stocker l’eau. En effet,
l’organisme élimine en permanence de l’eau via
les excrétions (principalement l’urine), la respiration
(au moment de l’expiration), et surtout la transpiration.
Les quantités d’eau ainsi perdues varient en fonction
des conditions atmosphériques et des activités : plus
la chaleur et/ou l’activité physique sont importantes,
plus la transpiration est abondante. (100% de
lipides).
L’eau est le principal constituant du corps humain.
La quantité moyenne d’eau contenue dans un organisme
adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres
d’eau pour une personne de 70 kilogrammes.
À l’intérieur de l’organisme, l’eau n’est pas répartie
uniformément. Sa concentration varie d’un organe à l’autre,
de 1 % dans l’ivoire des dents à 90 % dans le plasma sanguin.
On a coutume de dire qu’un bain est un vrai gaspillage d’eau, ce qui n’est pas forcément vrai !
Un bain représente 200 litres d’eau soit l’équivalent de 2 douches de 5 minutes.
Or, nombreux sont ceux qui se prélassent sous leur douche pendant 15 minutes…
Aujourd’hui, nous consommons environ
100 litres d’eau par jour et par habitant !
Mais au fait, pourquoi parle-t-on de “Planète bleue” ?
La Terre est très souvent appelée la Planète bleue. Trois phénomènes sont à l’origine
de cette couleur : l’absorption par la mer de la lumière du ciel, la diffusion par
l’atmosphère de la lumière blanche du soleil et enfin la réflexion par la surface de
la mer de cette lumière diffuse du ciel.



الخميس، 28 نوفمبر 2019


Création d’Entreprises

1 LES ETAPES DE LA CREATION D’ENTREPRISES .
2 INITIATEUR DU PROJET – OPPORTUNITE COMMERCIALE – PLAN D’AFFAIRES
2.1 Initiateur du projet ou promoteur
2.2 L’idée ou opportunité commerciale
2.3 Plan d’Affaires
2.4 Grandes questions et grands pas à franchir
1 LE CREATEUR OU L’EQUIPE ENTREPRENEURIALE
1.1 Les motivations
1.2 Les alternatives de carrière
1.3 Les ambitions et les objectifs
1.4 Auto-diagnostic et profil entrepreneurial : Qui bien se connaît mieux réussit
2 L’IDEE/OPPORTUNITE : LA RACINE DU PROJET.
2.1 L’idée ou l’opportunité (occasion d’affaires) : recherche, génération
2.2 Les sources d’idées
2.3 La validation de l’idée de création d’entreprise.
2.3.1 Déterminez les composantes de votre idée (votre offre : produit/service)
2.3.2 Délimitez le marché visé a priori
2.3.3 Décrivez votre activité de façon très précise
2.3.4 Collectez les informations essentielles
2.3.5 Sollicitez avis et conseils
2.3.6 Analysez les contraintes de votre projet
2.3.6.1 Les contraintes propres à la nature du produit ou du service
2.3.6.2 Les contraintes liées au marché
2.3.6.3 Les contraintes de moyens
2.3.6.4 Les contraintes de réglementations
2.3.7 Définissez votre projet personnel de créateur
2.3.8 Vérifiez enfin le réalisme de votre idée
2.4 Votre idée est-elle réaliste ?
3 L’ADEQUATION DU COUPLE CREATEUR/PROJET
3.1 Affinité entre le créateur et son idée d’entreprise
3.2 Contraintes du projet de création et du projet personnel du créateur
3.3 Adéquation du couple Homme(s)/Projet
1 VOLET COMMERCIAL 1.1 Aspects stratégiques
1.1.1 Identifier et étudier le comportement des clients cible
1.1.1.1 Analyse qualitative du marché cible
1.1.1.2 Analyse quantitative du marché cible
1.1.1.3 Analyse dynamique du marché cible
1.1.2 Etude du comportement de la concurrence
1.1.3 Définition d’une stratégie de développement
1.2 Aspects opérationnels
1.2.1 Décisions produit/service
1.2.2 Décisions relatives à la communication
1.2.3 Décisions relatives à la force de vente
1.2.4 Décisions relatives à la distribution : Choix des circuits et canaux et de la
stratégie de distribution
1.2.5 Décisions relatives au prix
1.3 Autres aspects : Etude et Recherche Marketing
1.3.1 L’étude de marché : objectifs et étapes
1.3.2 Les sources d’informations : primaires et secondaires
2 VOLET TECHNIQUE
2.1 Définition des produits ou services
2.2 Le choix du processus de production
2.2.1 Description du processus de production
2.2.2 La capacité et le niveau de production
2.2.3 Les besoins en moyens de production
2.3 Implantation et besoins en bâtiments
2.4 Investissements : Besoins en moyens de production à investir
2.4.1 Classification des Investissements
2.4.2 Choix d’investissements, Rentabilité et critères d’acceptation
3 VOLET RESSOURCES HUMAINES
3.1 Rôle et importance des RH dans l’entreprise
3.1.1 La direction de l’entreprise
3.1.2 Les besoins en personnel de production
3.1.2.1 Les besoins en formation et assistance
3.1.2.2 Coût de formation
3.2 La gestion prévisionnelle du personnel (Rappel de cours GRH
3.2.1 Définition de l’analyse des fonctions
3.2.2 Les principales étapes de l’analyse des fonctions
3.2.3 Questions essentielles à poser pour l’analyse des fonctions
3.2.4 L’exploitation de l’analyse des fonctions
3.2.4.1 L’analyse des fonctions et la planification des RH
3.2.4.2 L’analyse des fonctions et la formation
3.2.4.3 L’analyse des fonctions et le recrutement
3.2.4.4 L’analyse des fonctions et la rémunération
3.2.4.5 L’analyse des emplois et l’évaluation du rendement
3.3 Rémunération et avantages sociaux
3.3.1 Détermination du niveau de salaire
3.3.2 Détermination des avantages sociaux
4 VOLET ECONOMIQUE ET FINANCIER
4.1 Rentabilité économique du projet
4.1.1 Etude de la rentabilité du projet
4.1.1.1 Prévision des ventes : Chiffre d’affaires prévisionnel
4.1.1.2 Prévision des charges
4.1.2 Calcul du point mort (seuil de rentabilité) : Analyse Coût - Volume – Profit
4.1.2.1 Evolution des coûts selon le niveau d’activité
4.1.2.2 Analyse C-V-P
4.2 Faisabilité financière
4.2.1 Construction du plan de financement initial
4.2.1.1 Besoins durables
4.2.1.2 Le recensement des ressources durables
4.2.2 Compte de résultat prévisionnel
4.2.3 Plan de trésorerie
4.2.4 Le bilan prévisionnel
4.2.5 Plan de financement sur 3 ans
4.2.6 Les règles de financement
4.2.6.1 Les fonds propres
4.2.6.2 Le financement par l’endettement
4.2.6.3 Le financement en Tunisie
4.2.6.4 L’équilibre financier 5 VOLET JURIDIQUE, FISCAL ET SOCIAL
5.1 Dossier juridique et ses aspects1 Choix de la structure
5.1.2 Les principaux critères de choix
5.1.3 Etapes juridiques de la création et formalités de constitution (EI, SURL, SARL,
SA)
5.1.3.1 Etapes juridiques
5.1.3.2 Formalités juridiques de constitution
5.2 Dossier social et ses aspects
5.2.1 Sécurité sociale
5.2.2 Régime social (40 ou 48 heures) et salaire minimum
5.2.3 Charges sociales
5.3 Dossier fiscal et ses aspects
5.3.1 Régime réel ou forfaitaire
5.3.2 Obligations fiscales de l’entreprise
LA CREATION D’ENTREPRISES ET LES PRINCIPAUX
INTERVENANTS

1 L’ENVIRONNEMENT DE CREATION D’ENTREPRISES EN TUNISIE
1.1 Les mutations et les défis
1.2 Un cadre institutionnel et juridique particulièrement favorable
1.3 La simplification des règles administratives
1.4 Le soutien et la formation aux entreprises
2 L’INCITATION AUX INVESTISSEMENTS : AVANTAGES FINANCIERS ET FISCAUX
ACCORDES
2.1 Le Code d’incitations aux investissements et nouveau promoteur
2.2 Les fonds spéciaux d’incitation
2.2.1 Les activités artisanales et petits métiers : FONAPRAM
2.2.2 Les activités industrielles et de services : FOPRODI et le développement
régional
2.2.3 Le Régime d’Incitation à l’Innovation dans les Technologies de l’Information
(RITI)
............... 822.2.4 Les Sociétés d’Investissement à Capital Risque (SICAR)
2.2.5 Les sociétés octroyant des crédits d’investissement
2.2.5.1 Banque Tunisienne de Solidarité (BTS)
2.2.5.2 La Banque de Financement des PME (BFPME) 2.2.5.3 Autres Etablissements financiers
2.2.6 Les sociétés de Garanties
2.2.6.1 La Société Tunisienne de Garantie (SOTUGAR
2.2.6.2 Le Fonds National de Garantie (FNG