الجمعة، 29 نوفمبر 2019

Rédiger et soutenir un mémoire avec succès


Rédiger et soutenir un mémoire avec succès



Quels sont les éléments les plus importants pour obtenir
une bonne note ?

Le jury prend en compte aussi bien le fond que la forme du travail
qui lui est présenté.

Comment construire une bibliographi ? Il

faut donc absolument indiquer tous les éléments qui permettront
cette quête.

Comment construire sa conclusion ?

Le principal objectif de la conclusion est de faire le point sur ce
qu’était l’idée de départ, et sur ce qui devait être résolu dans le
mémoire.

Comment construire son introduction ? Il

faut, dans tous les cas, partir de la définition très générale de la thématique,
pour ensuite préciser au maximum le sujet qui sera traité
ainsi que la manière dont il sera traité (l’annonce du plan).

Combien de sources doit-on citer ?

il faut compter environ 30 à 50 références pour un master
1re année, et de 50 à 80 pour un master 2e année.

Où prendre les informations ?

Il en va ainsi des dictionnaires
Les bibliothèques
Le catalogue du Système universitaire de documentation
la base de données Delphe

Peut-on mener ses recherches sur Internet ?

L’étudiant satisfait aura trouvé de nombreux sites traitant de sa
problématique,

À quelles sources faire appel ?

L’étudiant doit également
compulser des manuels, des articles parus dans des journaux spécialisés,
des rapports ou autres mémoires.

Quelle est la place de l’objectivité
et la subjectivité dans le mémoire ?
l’objectivité a tout de même sa place dans le mémoire.
Si l’on admet qu’un mémoire laisse la place à une certaine subjectivité

Quelle est la place de la théorie par rapport à la pratique ?

◗ La théorie permet de poser les fondamentaux de la problématique
abordée et de raisonner sur des bases plus sûres.
◗ La pratique vise plus particulièrement à vérifier que les résultats
fournis par la littérature sont fondés.

Quelle est la meilleure manière de demander de l’aide
à un professionnel ?

La meilleure manière de demander de l’aide à un professionnel est
certainement de lui montrer que l’on peut éclaircir certains des problèmes
qu’il rencontre.

Qu’est-ce qu’une (bonne) problématique ?
Faut-il plusieurs problématiques ?

il s’agit de déterminer une
question qui se posera face à un domaine particulier. Pour être pertinente,
cette question devra passer à travers certains filtres destinés à
vérifier que la problématique est bien valide.

Est-il possible que deux étudiants choisissent des sujets
de mémoire identiques au sein de la même promotion ?

Avoir deux sujets identiques au sein d’une même promotion n’est
pas un handicap. Au contraire, cela peut aider les correcteurs, si ce
sont les mêmes, à évaluer les mémoires l’un par rapport à l’autre.

Quels sont les enjeux du choix du sujet ?

Les enjeux du choix du sujet sont multiples. Premièrement, en choisissant
un sujet qui l’intéresse, l’étudiant se lassera plus difficilement
et éprouvera de l’intérêt à le traiter.
Deuxièmement, le sujet du mémoire peut être inscrit sur un CV et
attirer l’attention d’un futur recruteur.


L’AUTOMATISME


L’AUTOMATISME

Qu'est-ce que l'automatisme ? - Apprendre l'électronique





Automatisme industriel - Automation Sense



Stabilité.
Le système est stable si la sortie reste bornée lorsque le système est soumis à une entrée
bornée.
On dit que le système est stable si pour une entrée constante, la sortie reste constante
quelles que soient les perturbations.
Le dépassement permet de définir la notion de stabilité relative.
Définition de quelques signaux tests
Pour étudier le système, on va le solliciter par des entrées maîtrisées et physiquement
réalisables, définie à partir d’un instant qu’on va prendre comme référence (t = 0).
Les plus classiques sont les suivantes :
L’échelon (ou marche) d’amplitude e0 pour tester la réactivité du système à un
brusque changement de consigne.
La rampe de pente « a » pour tester la capacité du système à suivre une évolution
variable.
Le sinus d’amplitude e0 et fréquence f pour tester la réactivité du système à une
sollicitation cyclique.
Performances d’un système asservi.
Deux performances sont définies en régime transitoire :
La rapidité, quantifiant la « vitesse » d’évolution du système.
L’amortissement, quantifiant les fluctuations dans l’évolution.
Deux performances sont définies en régime établi (aussi appelé permanent) :
La stabilité, quantifiant la capacité du système à ne pas diverger.
La précision (étude en poursuite, soit à perturbation nulle) et la robustesse (étude en
régulation, soit à consigne nulle), quantifiant la capacité du système à atteindre son
objectif et à résister aux actions intempestives de son environnement.
Il existe deux types d’asservissement :
On parle de régulation lorsque le système asservi est commandé par une grandeur
physique constante et qu’il doit maintenir une sortie constante quelles que soient les
perturbations qu’il subit (par exemple : une installation de chauffage).

On parle de système suiveur lorsque la commande (la consigne) varie dans le temps.
Le système doit ajuster en permanence le signal de sortie au signal d’entrée (exemple
: un robot, un radar de poursuite, une imprimante).
Le capteur :

 Il mesure la sortie (la mesure peut se faire en n’importe quel endroit de la
chaîne d’action et pas seulement à la fin).

Le calculateur :

 Il est constitué d’un comparateur et d’un correcteur.


Le comparateur :
 Il élabore l’écart entre la consigne et la mesure.

Le correcteur :

 Il élabore le signal de commande à partir de l’écart afin d’améliorer les
performances de l’asservissement.

L’adaptateur :

 Elément de l’interface homme/machine, il converti la consigne de
l’opérateur en grandeurs compréhensibles par le calculateur.

rédiger pour le web


rédiger pour le web

Gardez le contrôle !

Le snippet désigne le petit descriptif que le moteur de recherche affiche sur la page de
résultats. Pour garder le contrôle sur cet extrait, il est conseillé de renseigner la balise

Améliorer le référencement

Le contenu entre dans les critères qui détermineront le positionnement
d’un site dans les résultats des moteurs, lorsqu’une requête sera lancée
par un internaute. Idéalement, on vise une présence dans les trois premiers
résultats, mais de nombreux paramètres entrent en ligne de
compte qui vont influencer la manière dont les internautes appréhendent
la page de résultats. Nous le verrons au chapitre 8 dédié au comportement
de lecture en ligne.
Rédaction ou SEO ?

Sachez-le : rédaction web et SEO sont indissociables. Le contenu est un levier sur lequel
le référenceur se basera dans le cadre d’une campagne de visibilité. Le rédacteur web peut
lui mâcher le travail en optimisant le contenu, notamment les balises et attributs
Mon contenu est-il visible des robots ?

Vérifiez que votre contenu est vu par les robots.
Pour un très rapide coup d’oeil, sélectionnez le contenu de la page avec la souris et copiezle
dans un éditeur de texte simple (qui ne prend en compte que du texte) : Notepad, Kate,

Éviter les affres de Google Penguin et autres volatiles

Toujours pour améliorer la qualité de ses résultats par rapport aux
requêtes, Google a développé Penguin. Cette mise à jour de l’algorithme
a pour objectif de réduire le positionnement des sites construits sur le
référencement abusif (spamdexing). Parmi ces pratiques frauduleuses
sanctionnées par Google se trouvent la suroptimisation (keyword stuffing),
les échanges de liens, le cloaking, la réutilisation délibérée du
contenu d’un site tiers, etc

Esquiver le coup de bambou de Google Panda

« Le contenu de qualité est un critère clé du référencement naturel. »
Preuve en sont le filtre Panda introduit en 2011 par Google et la mise à
jour « Payday Loan » en 2013, toujours dans la perspective d’améliorer la
qualité des pages de résultats.

SAVOIR Le plagiat nuit à l’indexé

Attention, qui dit contenu de qualité exclut ce qui
provient du plagiat, un sport sidéral sur la Toile. Il
est aisé de « pomper » le contenu d’un autre et de
se nourrir de son fonds de commerce.

Entrer dans les critères de qualité sur la longueur

En novembre 2011, sous le nom de « Freshness Update », Google a
opéré un changement dans son algorithme pour privilégier les contenus
frais ou récents.
Entrer dans les critères de qualité sur la longueur

En novembre 2011, sous le nom de « Freshness Update », Google a
opéré un changement dans son algorithme pour privilégier les contenus
frais ou récents.




l’or bleu


l’or bleu
Un peu moins de la moitié de l’eau nécessaire est apportée
par les aliments qui fournissent environ 1 litre d’eau au
corps chaque jour. La teneur en eau des aliments est très
variable. Tous les aliments contiennent de l’eau, en plus ou
moins grandes quantités, sauf le sucre (100% de glucides)
et l’huile
Le corps humain ne peut pas stocker l’eau. En effet,
l’organisme élimine en permanence de l’eau via
les excrétions (principalement l’urine), la respiration
(au moment de l’expiration), et surtout la transpiration.
Les quantités d’eau ainsi perdues varient en fonction
des conditions atmosphériques et des activités : plus
la chaleur et/ou l’activité physique sont importantes,
plus la transpiration est abondante. (100% de
lipides).
L’eau est le principal constituant du corps humain.
La quantité moyenne d’eau contenue dans un organisme
adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres
d’eau pour une personne de 70 kilogrammes.
À l’intérieur de l’organisme, l’eau n’est pas répartie
uniformément. Sa concentration varie d’un organe à l’autre,
de 1 % dans l’ivoire des dents à 90 % dans le plasma sanguin.
On a coutume de dire qu’un bain est un vrai gaspillage d’eau, ce qui n’est pas forcément vrai !
Un bain représente 200 litres d’eau soit l’équivalent de 2 douches de 5 minutes.
Or, nombreux sont ceux qui se prélassent sous leur douche pendant 15 minutes…
Aujourd’hui, nous consommons environ
100 litres d’eau par jour et par habitant !
Mais au fait, pourquoi parle-t-on de “Planète bleue” ?
La Terre est très souvent appelée la Planète bleue. Trois phénomènes sont à l’origine
de cette couleur : l’absorption par la mer de la lumière du ciel, la diffusion par
l’atmosphère de la lumière blanche du soleil et enfin la réflexion par la surface de
la mer de cette lumière diffuse du ciel.