الجمعة، 8 يوليو 2016

U.S. Capitol Building on lockdown due to police activity



The U.S. Capitol Building was ordered into lockdown Friday morning, requiring staff and visitors to shelter in place, lock doors and stay away from windows due to police activity reported in the building, according to a memo distributed by police.
Authorities did not immediately comment on the specific reason. The order includes the Capitol Visitor Center where tourists enter the complex.
“If you are outside of an office building, seek cover away from the area,” the memo issued shortly after 9 a.m. said.
A spokeswoman for the U.S. Capitol Police said in a brief statement that authorities locked down the buildings “out of abundance of caution” while they “investigate a report of a person of interest.”
No further comment was made.
It was not clear where in the complex the incident was located

Ce que l’on sait des policiers pris pour cible par des snipers à Dallas



  • Que s’est-il passé ?

Les informations sont encore parcellaires mais, selon les médias locaux, les tirs ont commencé jeudi soir autour de 20 h 45 (3 heures du matin à Paris), vers la fin de la manifestation, à laquelle avaient pris part des centaines de personnes pour protester après la mort de deux hommes noirs abattus par la police cette semaine – l’un en Louisianel’autre dans le Minnesota. Plusieurs rassemblements de protestation étaient organisés à travers les Etats-Unis.
Parlant d’une « embuscade », le chef de la police de Dallas, David Brown, a expliqué dans un communiqué que « deux snipers [avaient] tiré sur dix policiers depuis une position en hauteur pendant la manifestation » :








EURO 2016: GRIEZMANN ET LES BLEUS FONT L'UNANIMITÉ APRÈS LA VICTOIRE CONTRE L'ALLEMAGNE

EURO 2016: GRIEZMANN ET LES BLEUS FONT L'UNANIMITÉ APRÈS LA VICTOIRE CONTRE L'ALLEMAGNE

Il est impossible d'y échapper ce vendredi 8 matin, tous les quotidiens consacrent leur Une à la victoire historique jeudi 7 au soir de la France sur l'Allemagne (2-0), en demi-finale de l'Euro 2016, et avouent être sous le charme de Griezmann et sa bande.
"Griezmann terrasse L'Allemagne", titre Libération, "Griezmann envoie la France en finale", écrit Le Figaro, "Grizant" s'amuse 20 Minutes, "Mais quel pied!", ose Le Parisien. "L'Extase", s'exclame enfin L'Equipe.
La presse régionale s'enflamme tout autant: "On est en finale", confirment Ouest-FranceLa Voix du NordLa République du Centre-Ouest, "Phénoménal", affirme Le Télégramme, "Quelle victoire", pour L'Ardennais, "Une victoire tant attendue", note Le Maine Libre, "leur jour de gloire", souligne Sud-Ouest. "Ils l'ont fait", se réjouit Le Télégramme et que "la fête continue", espère Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Enfin, "MERCI", titre La Provence.
Bien évidemment, tous ces titres sont accompagnés d'une grande photo de Bleus tout sourire.
Pour L'Equipe encore : "Griezmann a porté" ses camarades en "inscrivant deux buts" et "en réalisant des différences incroyables". Et pour Vincent Duluc, "il n'est nul besoin de se gratter la tête pour trouver un nom" à cette équipe de France: "génération Griezmann".
Une génération de joueurs qui, avec "leurs airs d'éternels adolescents, leur insolence et leur amour du jeu symbolisent déjà une autre France. Celle qui ne court pas après sa grandeur passée, croit en son talent et aura, dimanche, l'occasion de graver son nom dans la grande histoire du sport", assure Frédéric Vézard, dans Le Parisien.
"Bienvenue à la génération Griezmann - lutin génial dont le football respire la joie de vivre- quasiment une génération spontanée, pour qui le meilleur est sans doute à venir", estime Philippe Marcacci, de L'Est Républicain.
"On a senti quelque chose de spécial, entre inéluctabilité et état de grâce", note Grégory Schneider, dans Libérationqui a vu un "Griezmann de gala".
Une chose est certaine pour Vincent Duchesne, du Figaro, ce succès aux dépens des champions du monde, "fera date dans l'histoire du football français". Et donc on: "leur doit bien un MERCI majuscule", estime Jean-Michel Marcoul, dans La Provence. "A la hauteur de l’exploit sportif et du moment rare qu’ils nous ont offert", précise-t-il.
"La séquence de 50 ans de défaites en matches officiels face à l'Allemagne, a été stoppée net", rappelle Patrice Chabanet, du Journal de la Haute-Marne.
C'est pourquoi: "ce que nous avons vécu hier soir est historique. Il aura fallu 58 ans pour remettre les pendules à l’heure", souligne Sébastien Lacroix dans L'Union. "Il fallait le faire, ils l’ont fait, chapeau", ajoute-t-il.
La France s'est qualifiée pour la finale de l'Euro-2016, où elle affrontera le Portugal dimanche soir au Stade de France, en battant l'Allemagne (2-0) jeudi en demi-finale à Marseille. Deux buts marqués par l'attaquant Antoine 

Didier Deschamps : «Les joueurs ont fait leur histoire»


Vainqueur de l'Allemagne (2-0), la France va disputer la finale de son Euro contre le Portugal. Ce sera «la marche la plus importante», a insisté Didier Deschamps.
«Êtes-vous déjà tourné vers la finale ou avez-vous eu le temps de savourer cette victoire ? 
Non pas encore, je leur en ai parlé parce que trois jours, c’est court, mais il faut savourer. C’est un moment important même si la marche la plus importante sera celle de dimanche. Il faudra y arriver dans les meilleures conditions.

L’histoire est-elle en marche, comme vous l’avez affirmé mercredi ? 
On a déjà fait ça. C’est une très belle histoire. Les joueurs ont fait leur histoire ce soir. Cela fait très longtemps qu’on n’avait pas battu l’Allemagne et ça ne nous donne rien aujourd’hui, à part l’accès en finale. C’est contre le Portugal qu’il y aura un titre à jouer. Je suis très heureux pour les joueurs, parce que ce n’était pas un match facile. On a souffert ensemble pour ne pas céder. Et on a vu un grand Hugo Lloris, qui a été décisif quand il le fallait.

Antoine Griezmann l’a aussi encore été...
C’est un grand joueur. Il l’a encore prouvé dans tout ce qu’il fait. C’est quelqu’un de très généreux qui, avec Olivier Giroud, a permis de garder l’équipe compacte. C’est un joueur très important. Sur cet Euro, il a été décisif. C’est un atout d’avoir un joueur comme lui, capable de marquer, de faire marquer et de bien faire jouer les joueurs autour de lui.

Est-ce votre plus grande émotion en tant qu’entraîneur ? 
Je ne sais pas, c’est une grande émotion. C’est un grand moment. Gagner une demi-finale d’un Euro chez soi, dans un stade gonflé à bloc, ça procure énormément de plaisir.
«On a le pouvoir de procurer des émotions mais pas de régler les problèmes de Français»
Pensez-vous que cette ferveur a beaucoup joué dans votre victoire ?
Dans les moments difficiles, ce soutien a été très important. C’est pour cette raison que les joueurs ont voulu aller remercier le public à la fin. Bravo aux supporters, bravo aux joueurs. Je suis heureux pour tous ces privilégiés qui étaient au stade et qui ont vibré ce soir.

Le jour de récupération supplémentaire qu’aura le Portugal avant la finale va-t-il être important sur la décision finale ?
Je ne vais pas commencer à parler de ça, mais évidemment que oui. J’ai joué au foot et je sais qu’entre trois et quatre jours, ce n’est pas pareil, à la différence que quatre et cinq jours, qui ne change pas grand-chose. Le calendrier a été fait comme ça. On a eu deux fois sept jours de repos à un moment donné, ce qui était trop. On aurait aimé avoir plus mais on va faire en sorte d’optimiser chaque heure qui va précéder ce match.

Pensez-vous que la France va mieux après cette victoire ? 
Je ne sais pas. On a le pouvoir de procurer des émotions mais pas de régler les problèmes de Français. On sait qu’on peut leur faire oublier un peu leurs soucis, on s’en rend compte quand on croise les gens. C’est aussi pour ça que ce soir, on ressent beaucoup de joie et de bonheur.»






Eu L'Office de Tourisme multiplie sa présence sur les réseaux sociaux

Eu


S'il avait déjà un site web, u et une page Facebook, l'Office de Tourisme eudois a choisi d'être encore plus présent sur la toile en s'ouvrant à Instagram et Pinterest

Dernièrement l’Office de Tourisme a travaillé sur le développement du numérique et des réseaux sociaux, pour améliorer sa présence sur la toile. « Cela faisait du projet que nous avons confié à une stagiaire » expliquent le directeur de l’Office de Tourisme (OT) Frédéric Drynski, et l’adjointe au tourisme Marie-Laure Riche. « Elle a eu l’idée de nous créer des comptes sur Pinterest et Instagram, tous deux des réseaux sociaux principalement basés sur le partage d’images par la recherche de mot-clé, ou hashtag ».
Si Pinterest est encore assez mal connu en France, il est plus utilisé à l’international. La participation reste toutefois anecdotique pour le moment. Sur Instagram, le réseau se développe, avec 156 abonnés.
« Notre compte a été créé il y a 3 mois. On essaye de valoriser le hashtag #eunormandie. Cela permet de localiser rapidement notre ville, car c’est une région de France très connue dans le monde ».
En parallèle, le site internet a été amélioré « pour être plus visible ».
Et la page sur Facebook ne cesse de croître : « nous avons aujourd’hui 1 143 personnes qui aiment la page, soit 300 personnes de plus depuis le début de l’année ».

Des résultats à analyser

« Pour l’instant, on s’ouvre au maximum sur ces réseaux, pour être le plus visible possible et se faire connaître » précise Marie-Laure Riche. Dans la mesure où l’OT n’est présent sur Pinterest et Instagram que depuis quelques mois, difficile d’en mesurer la portée réelle

الخميس، 7 يوليو 2016

ICC to review Iraq war report for war crimes

Euro 2016 : Les Bleus se hissent en finale en battant l’Allemagne


C’était une finale avant l’heure. Un match à l’issue duquel l’équipe de France espérait mettre fin à sa mauvaise série face à l’Allemagneen compétition officielle, depuis la sinistre et traumatisante soirée du 8 juillet 1982, à Séville. Portés par le public du Stade Vélodrome de Marseille, les Bleus de Didier Deschamps ont conjuré la malédiction, jeudi 7 juillet, en sortant (2-0) la Mannschaft, championne du mondeen titre, en demi-finales de « leur » Euro.

Dans une ambiance indescriptible, les hommes de Didier Deschamps se sont imposés grâce à un doublé d’Antoine Griezmann. Malgré la supériorité technique des protégés de Joachim Löw, les Tricolores se sont ouverts les portes de la finale devant un public phocéen en transe. Dans leur quête d’une troisième victoire européenne, après leurs sacres lors des éditions 1984 (organisée dans l’Hexagone) et 2000, les Bleus retrouveront le Portugal de sa majesté Cristiano Ronaldo, dimanche 10 juillet, au Stade de France.

La confiance affichée par Joachim Löw

Alors que leur sélection disputait, à Marseille, sa sixième demi-finale d’affilée dans une compétition internationale depuis le Mondial 2006, les supporteurs de la Mannschaft se montraient particulièrement confiants avant la rencontre. Il est vrai que les Bleus ne s’étaient plus imposés face au rival allemand, en compétition officielle, depuis une sombre victoire (6-3) contre la RFA, lors du match pour la troisième place du Mondial 1958. La bière a donc coulé à flot sur l’avenue du Prado, en plein cagnard.
« Nous avons eu un pays entier de deux cents millions d’habitants contre nous au Brésil, et cela ne nous avait pas empêchés de dormir, avait glissé, avant la rencontre, le sélectionneur allemand Joachim Löw pour mieux rappeler le triomphe (7-1) de ses protégés face à la Seleçao, il y a deux ans, en demi-finales du Mondial 2014. Avant le match contre la France, nous dormirons bien aussi. » Gonflé de certitudes, le technicien était pourtant confronté aux absences fâcheuses de son défenseur Mats Hummels, suspendu, et de son milieu Sami Khedira et de son avant-centre Mario Gomez, blessés.

La domination de la Mannschaft en première période

Chauffés à blanc, les supporteurs des Bleus ont d’emblée donné le ton en sifflant copieusement la Mannschaft lors de l’échauffement. Offrant une acoustique hostile aux champions du monde, le public du Stade Vélodrome a ensuite entonné en cœur la Marseillaise.
Incisifs, les Tricolores asphyxient les champions du monde dès l’entame du match. Et le portier allemand Manuel Neuer se trouve en difficulté dès la première minute de jeu, dégageant au loin un ballon qui traîne dangereusement dans sa surface. Moqueur, le public marseillais jubile à chaque fois qu’un joueur de la Mannschaft rate un geste. A la 6ème minute, Antoine Griezmann effectue une percée dans la défense allemande avant de tirer du droit à ras de terre. Mais sa frappe est détournée par Manuel Neuer, vigilant.
Passé ce premier frisson, la Mannschaft commence à s’implanter dans la moitié de terrain française. Et le gardien et capitaine des Bleus Hugo Lloris est obligé de détourner une belle reprise d’Emre Can (14e). Emmenés par un très bon Mesut Ozil, les Allemands monopolisent le ballon, jouant intelligemment dans les intervalles. A la 23e minute, Dimitri Payet obtient un coup franc plein axe. Passé maître dans cet exercice, le Réunionnais voit sa frappe aisément captée par Neuer. La Mannschaft réplique par l’intermédiaire de Bastian Schweinsteiger, dont la salve est détournée par Hugo LLoris (27e).
A l’image du novice Samuel Umtiti (2 sélections), la défense française multiplie les dégagements en catastrophe. Concentré, Lloris capte avec gourmandise les centres vicieux des champions du monde. Très mobile, Antoine Griezmann décoche une frappe dans le petit filet extérieur de Neuer (42e). L’attaquant de l’Atlético Madrid trépigne de rage lorsqu’Olivier Giroud, parti seul au but, oublie de le servir avant d’être rattrapé par Benedikt Höwedes, auteur d’un magnifique taclé glissé.

Le doublé de Griezmann

Contre le cours du jeu, les Bleus obtiennent un penalty, dans l’incompréhension générale. Sur un corner, Evra tente de placer sa tête. Au marquage de l’arrière gauche français , Bastian Schweinsteiger s’élève avant de toucher le ballon de la main (45e). L’arbitre italien Nicola Rizzoli désigne le point de penalty après un court moment de flottement. Sans trembler, Antoine Griezmann prend Manuel Neuer à contre-pied et donne l’avantage aux Tricolores juste avant la pause. Le Vélodrome explose. Radieux, les protégés de Didier Deschamps regagnent les vestiaires sous les vivats du public phocéen.
De retour sur la pelouse, les Tricolores multiplient les raids éclair dès l’entame de la seconde mi-temps. Sur une contre-attaque, Olivier Giroud s’ouvre le chemin du but mais sa frappe est détournée par Jérôme Boateng, bien placé. Le défenseur allemand se claque dans la foulée en réalisant une longue transversale. L’arrière allemand est remplacé par Shkodran Mustafi à l’heure de jeu. Les Bleus profitent de ce changement pour acculer la Mannschaft. Et Antoine Griezmann s’offre un doublé à la 70e minute. Sur un centre de Paul Pogba détourné au poing par Neuer, l’attaquant de l’Atlético Madrid jaillit pour pousser le ballon au fond de la cage allemande. Il conforte ainsi son statut de meilleur buteur de la compétition avec six réalisations au compteur.

Le Vélodrome chavire

Abattus, les joueurs de Joachim Löw tentent de réagir. Mais Joshua Kimmich voit sa belle frappe enroulée s’écraser sur le poteau de Hugo Lloris. Les entrées du milieu N’Golo Kanté et de l’attaquant André-Pierre Gignac et du milieu Yohan Cabaye dynamisent le jeu français. Neuer doit se coucher à plusieurs reprises sur les salves des Tricolores. Maladroits, les champions du monde ratent le coche en fin de match. Impressionnant, Hugo Lloris réalise un arrêt réflexe sur une tête à bout portant de Joshua Kimmich dans les arrêts de jeu.
Au coup de sifflet final, les travées du Stade Vélodrome bouillonnent. En ligne, les Bleus viennent saluer le public marseillais tandis que les Allemands s’écroulent sur la pelouse. Héros de la soirée, Antoine Griezmann communie longuement avec ses supporteurs extatiques. A la tête des Bleus depuis 2012, Didier Deschamps peut savourer, lui qui avait vu ses joueurs se faire éliminer (1-0) par la Mannschaft, en quarts de finale du Mondial 2014. Le sélectionneur avait par ailleurs été confronté à une litanie de forfaits (Raphaël Varane, Jérémy Mathieu, Lassana Diarra) avant le tournoi. Il avait dû aussi gérer le cas Karim Benzema, mis en examen dans l’affaire du chantage à la sextape et non-retenu pour la compétition.
Comme en 1984, déjà au Vélodrome, les Tricolores s’ouvre les portes de la finale de « leur » Euro. Assis sur le toit du monde en 1998 lors de son sacre « à la maison », le foot français a l’occasion, dimanche, de renouer avec le succès, dix ans après la finale du Mondial 2006 perdue contre l’Italie (1-1 aux tirs au but). S’il battait le Portugal, Didier Deschamps deviendrait le premier sélectionneur à soulever le trophée Henri-Delaunay après l’avoir remporté - en 2000- comme joueu