الأحد، 1 مايو 2016

HUBBLE DÉCOUVRE UN SATELLITE À LA PLANÈTE NAINE MAKEMAKE

HUBBLE DÉCOUVRE UN SATELLITE À LA PLANÈTE NAINE MAKEMAKE



C’est un petit monde du bout du monde que le télescope spatial Hubble vient de découvrir : un satellite tournant autour de la planète naine Makemake, laquelle se trouve aux confins du système solaire, où tournent d’autres astres de glace, comme Pluton, Haumea, Quaoar, Ixion, Sedna, Eris, Varuna…
Makemake tourne à 7,8 milliards de kilomètres du Soleil, une distance comparable à celle de Pluton, qui se trouve actuellement à cinq milliards de kilomètres. Mesurant environ 1500 kilomètres de diamètre, Makemake est l’un des innombrables corps de la Ceinture de Kuiper, que les astronomes commencent à explorer progressivement : cent mille astres de plusieurs dizaines de kilomètres les attendent probablement là bas…
Le satellite de Makemake découvert par le télescope Hubble mesure environ 150 kilomètres de diamètre et n’a pas encore été baptisé. Makemake – Makémaké en Français – est le dieu fondateur du peuple Rapa Nui de l’île de Pâques, et son satellite est provisoirement appelé MK 2.
La découverte de MK 2 confirme aux planétologues que la Ceinture de Kuiper, loin du Soleil et plongée dans un froid sidéral, est un univers d’une stupéfiante diversité, en témoignent les images de Pluton prises par la sonde New Horizons en 2015, qui révèlent, par une température de -230 °C, une complexité géologique insoupçonnée. Outre Makemake et Pluton, qui compte cinq satellites (Charon, Styx, Nix, Kerberos et Hydra), d’autres planètes naines ont révélé qu’elles possédaient un ou sans doute plusieurs satellites, comme Haumea (Namaka et Hi’iaka), Eris (Dysnomia), Quaoar (Weywot), Orcus (Vanth), Salacia (Actaea)…
L’exploration directe par l’humanité des confins du système solaire a commencé avec le passage de la sonde New Horizons dans le monde de Pluton en 2015. Prochaine étape, le 1 janvier 2019 : l’objet 2014 MU 69, distant de 6,5 milliards de kilomètres, et dont on ignore encore si il possède, lui aussi, un cortège de satellites.

 
LE TÉLESCOPE HUBBLE DÉCOUVRE UNE NÉBULEUSE EN FORME DE BULLE
 
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Le télescope Hubble découvre une nébuleuse en forme de bulle
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UNE NOUVELLE ANOMALIE FAIT TREMBLER LA PHYSIQUE

 UNE NOUVELLE ANOMALIE FAIT TREMBLER LA PHYSIQUE




Depuis l’apparition d’une anomalie observée conjointement dans les données des détecteurs ATLAS et CMS, au Cern près de Genève, la planète physique est en émoi (voirnotre dossier de Science & Vie daté mai, en kiosque du 20 avril au 25 mai, n° 1184). Rien n’est encore confirmé, mais tout indique que les physiciens des particules tiennent enfin le signe qu’ils attendaient depuis des lustres. Celui qui, après 40 ans de règne sans partage d’une théorie pourtant manifestement incomplète – le modèle standard – les projettera dans une nouvelle ère de l’exploration des arcanes de l’infiniment petit.

UN CAILLOU DANS LA CHAUSSURE DU MODÈLE STANDARD

D’autant que le signal rendu public le 15 décembre n’est pas le seul caillou dans la chaussure du modèle standard, en passe d’être matérialisé au LHC, l’accélérateur géant du Cern. Il y en a un autre ! Plus discret, plus difficile à extraire des données, mais tout aussi réel que celui qui laisse croire aujourd’hui à l’existence d’une nouvelle particule qu’aucune théorie connue n’avait anticipée.
Ce coup de canif supplémentaire dans la vision que nous avons actuellement de l’univers élémentaire est le fait d’un autre détecteur en charge d’intercepter le produit des collisions entre protons à l’œuvre dans les tréfonds de l’accélérateur géant : celui de l’expérience LHCb. Plus spécialisé qu’ATLAS et CMS, celui-ci a été spécialement conçu pour étudier les désintégrations de particules composites comprenant un quark beauté (ou b), dont les théoriciens soupçonnent depuis longtemps qu’il puisse être la porte d’entrée de cette Terra incognita qu’ils cherchent sans relâche depuis des décennies. Or depuis un an, les anomalies se sont multipliées dans le LHCb.

D’ÉTRANGES DÉSINTÉGRATIONS

En mars 2015, comme nous vous le rapportions déjà (voir Science & Vie n° 1173, page 67, juin 2015), celles-ci ont d’abord pris la forme de directions de vol « non standards » pour certaines particules issues de la désintégration d’un méson B, une particule contenant un quark beauté. Précisément un K*, une des nombreuses particules composites appartenant au bestiaire du modèle standard, et deux muons, sorte d’électron obèse. Par ailleurs, le nombre de ces désintégrations apparaissait étonnamment bas.
Par la suite, les expérimentateurs du Cern, ont comparé la probabilité de désintégration d’un B en, d’une part un K plus deux muons, d’autre part un K plus deux électrons. Résultat : alors que le modèle standard prévoit qu’elles soient strictement égales, une différence significative a été mise en évidence entre les deux modes de désintégration.
Mais ce n’est pas tout. Alors que les processus décrits ci-dessus impliquent la transformation d’un B en une particule intégrant un quark étrange (« strange » en anglais), ou s, en l’occurrence un K ou un K*, les physiciens ont également analysé des processus où un B engendre une particule contenant un quark dit « charmé », ou c. Rebelote : de nouvelles anomalies ont été observées.

AUX ETATS-UNIS ET AU JAPON, DES ANOMALIES ONT AUSSI ÉTÉ OBSERVÉES

Autant d’anomalies dont certaines ont par ailleurs récemment été retrouvées dans les données de deux anciennes expériences, BaBar, aux Etats-Unis, et Belle, au Japon, comme en témoignent encore des résultats rendus publics la semaine dernière, lors d’un workshop organisé à Barcelone.
Certes, les équations du modèle standard qui décrivent la désintégration du méson B sont redoutablement difficiles à résoudre, et par conséquent les solutions associées entachées d’incertitudes. Si bien qu’il y a un an, l’urgence était de s’assurer de la validité des analyses menées dans le cadre du modèle standard. Mais 12 mois plus tard, comme l’indique Sébastien Descotes-Genon, directeur du Laboratoire de physique théorique, à Orsay, « de nombreux théoriciens travaillant sur le sujet pensent désormais qu’une telle piste est défavorisée. » Autrement dit, les regards se portent désormais vers une interprétation des données faisant appel à des processus « non standards ». D’autant plus que l’ensemble des anomalies observées est ainsi très facile à interpréter, aux dires des théoriciens. « Ce n’est pas une preuve, tempère Sébastien Descotes-Genon. Mais le fait est que l’on peut ainsi rendre compte de façon très économique des données du LHCb. » Au point que plusieurs théoriciens se sont déjà lancés dans l’exploration de théories au-delà du modèle standard, susceptibles de jeter un pont entre les anomalies des B et celle relevée par ATLAS et CMS !

LA PAROLE EST MAINTENANT À L’EXPÉRIENCE

Dans un cas comme dans l’autre, la conclusion sera avant tout expérimentale. Elle viendra lorsque des données supplémentaires permettront de trancher entre une fluctuation sans signification physique, et un signal porteur d’un message notifiant que l’actuelle théorie des particules élémentaires doit enfin céder la place à une autre, encore à construire.
Concernant l’étrange signal mis en évidence auprès d’ATLAS et CMS, tous les spécialistes s’accordent à dire que le dénouement interviendra avant la fin de l’été. A l’inverse, il est probable que les bizarreries constatées dans le creuset de LHCb nécessitent un peu plus de temps pour être élucidées. Quoi qu’il en soit, c’est à l’évidence à un ébranlement sans précédent auquel nous assistons actuellement dans la connaissance des fondements de notre univers. Qui pourrait bien se transformer rapidement en un véritable tremblement de terre !

Mercury (element)



Mercury (element)



Mercury is a chemical element with symbol Hg and atomic number 80. It is commonly known as quicksilver and was formerly named hydrargyrum (/hˈdrɑːrərəm/).[3] A heavy, silvery d-block element, mercury is the only metallic element that is liquid at standard conditions for temperature and pressure; the only other element that is liquid under these conditions is bromine, though metals such as caesium,gallium, and rubidium melt just above room temperature.
Mercury occurs in deposits throughout the world mostly as cinnabar (mercuric sulfide). The red pigment vermilion is obtained by grinding natural cinnabar or synthetic mercuric sulfide.
Mercury is used in thermometersbarometersmanometerssphygmomanometersfloat valvesmercury switchesmercury relaysfluorescent lamps and other devices, though concerns about the element's toxicity have led to mercury thermometers and sphygmomanometers being largely phased out in clinical environments in favor of alternatives such as alcohol- or galinstan-filled glass thermometers and thermistor- or infrared-based electronic instruments. Likewise, mechanical pressure gauges and electronic strain gauge sensors have replaced mercury sphygmomanometers. Mercury remains in use in scientific research applications and in amalgam for dental restoration in some locales. It is used in fluorescent lighting. Electricity passed through mercury vapor in a fluorescent lamp produces short-wave ultraviolet light which then causes the phosphor in the tube to fluoresce, making visible light.
Mercury poisoning can result from exposure to water-soluble forms of mercury (such as mercuric chloride or methylmercury), by inhalation of mercury vapor, or by eating food contaminated with mercury.

زئبق

زئبق



الزئبق عنصر كيميائي له الرمز Hg والعدد الذري 80 في الجدول الدوري، وهو سائل فضي، كثافته (13.54 غ/سم3)، يتجمد بلون فضي مائل للزرقة يشبه الرصاص في مظهره وذلك عند (-38.9 درجه مئوية)، ويغلي عند (356.9 درجة مئوية).
عند إمرار شرارة كهربائية في بخار الزئبق، ينبعث منه وميض مبهر، وأشعة فوق بنفسجية.
عـند درجة حرارة (-269 درجة مئوية) يصبح الزئبق كُـثـَافه - لاحظ هنا أن درجة (-271 درجة مئوية هي درجة حرارة السحب الركامية التي تخلفت عن الانفجار الكونى وهي التي تطلق أشعة ميكروويف خلفية الكون (C.M.B.).
و بالتالى يصبح الزئبق (موصلآ فائقأ) - آى تنعدم مقاومته للتيار الكهربى ؛ بينما درجة حرارة الصفر المطلق هي(-273.16 درجة مئوية) وهي درجة الحرارة التي تتوقف عندها حركة الجزيئات.
إن الصفة غير العادية لحالة التوصيل الفائق لا تكمن فقط في انعدام مقاومة التيار الكهربى، وإنما إيضا في إنتاج مجالات مغناطيسية شديدة بدون استخدام ملفات ذات قلوب حديدية، كما يمكن تخزين الكهرباء بداخلها.

آيات عن الحجاب رائعة

آيات عن الحجاب رائعة

يَا أَيُّهَا النَّبِيُّ قُل لِّأَزْوَاجِكَ وَبَنَاتِكَ وَنِسَاءِ الْمُؤْمِنِينَ يُدْنِينَ عَلَيْهِنَّ مِن جَلَابِيبِهِنَّ ذَٰلِكَ أَدْنَىٰ أَن يُعْرَفْنَ فَلَا يُؤْذَيْنَ وَكَانَ اللَّهُ غَفُورًا رَّحِيمًا   الأحزاب (59) 
يَا أَيُّهَا النَّبِيُّ حَسْبُكَ اللَّهُ وَمَنِ اتَّبَعَكَ مِنَ الْمُؤْمِنِينَ   الأنفال (64)  






Gold

Gold



Gold is a chemical element with symbol Au (from Latinaurum) and atomic number 79. In its purest form, it is a bright, slightly reddish yellow, dense, soft, malleable and ductile metal. Chemically, gold is a transition metal and a group 11 element. It is one of the least reactive chemical elements, and is solid under standard conditions. The metal therefore occurs often in free elemental (native) form, as nuggets or grains, in rocks, in veins and in alluvial deposits. It occurs in a solid solution series with the native element silver (as electrum) and also naturally alloyed with copper and palladium. Less commonly, it occurs in minerals as gold compounds, often with tellurium (gold tellurides).
Gold's atomic number of 79 makes it one of the higher atomic number elements that occur naturally in the universe. It is thought to have been produced in supernova nucleosynthesis and from the collision of neutron stars[4] and to have been present in the dust from which the Solar System formed. Because the Earth was molten when it was just formed, almost all of the gold present in the early Earth probably sank into theplanetary core. Therefore, most of the gold that is present today in the Earth's crust and mantle is thought to have been delivered to Earth later, by asteroid impacts during the late heavy bombardment, about 4 billion years ago.
Gold resists attack by individual acids, but aqua regia (literally "royal water", a mixture of nitric acid and hydrochloric acid) can dissolve it. The acid mixture causes the formation of a soluble gold tetrachloride anion. It is insoluble in nitric acid, which dissolves silver and base metals, a property that has long been used to refine gold and to confirm the presence of gold in metallic objects, giving rise to the term acid test. Gold also dissolves in alkaline solutions of cyanide, which are used in mining and electroplating. Gold dissolves in mercury, forming amalgam alloys, but this is not a chemical reaction.
Gold is a precious metal used for coinagejewelry, and other arts throughout recorded history. In the past, a gold standard was often implemented as a monetary policy within and between nations, but gold coins ceased to be minted as a circulating currency in the 1930s, and the world gold standard was abandoned for a fiat currency system after 1976. The historical value of gold was rooted in its relative rarity, easy handling and minting, easy smelting and fabrication, resistance to corrosion and other chemical reactions (nobility), and distinctive color.
A total of 183,600 tonnes of gold is in existence above ground, as of 2014.[5] This is equivalent to 9513 m3 of gold. The world consumption of new gold produced is about 50% in jewelry, 40% in investments, and 10% in industry.[6] Gold’s high malleability, ductility, resistance to corrosion and most other chemical reactions, and conductivity of electricity have led to its continued use in corrosion resistant electrical connectors in all types of computerized devices (its chief industrial use). Gold is also used in infrared shielding, colored-glass production, gold leafing, and tooth restoration. Certain gold salts are still used as anti-inflammatories in medicine.