الأحد، 27 مارس 2016

Pourquoi l'éducation doit se servir de logiciel libre et l'enseigner


Pourquoi l'éducation doit se servir de logiciel libre et l'enseigner

« Les écoles doivent apprendre à leurs élèves à devenir les citoyens d'une société forte, compétente, indépendante et libre. »
Ce sont les raisons principales pour lesquelles universités et écoles de tous niveaux doivent utiliser exclusivement du logiciel libre.

Partage

Les établissements scolaires doivent enseigner les valeurs du partage en montrant l'exemple. Le logiciel libre contribue à la pédagogie, car il permet le partage des savoirs et des outils :
  • Savoirs. Beaucoup de jeunes élèves ont un don pour la programmation, ils sont fascinés par les ordinateurs et enthousiastes à l'idée d'apprendre comment leurs systèmes fonctionnent. Avec le logiciel privateur,1 cette information est un secret, donc les enseignants ne peuvent d'aucune façon la rendre accessible à leurs élèves. Mais s'il s'agit de logiciel libre, le professeur peut expliquer les bases, puis leur donner le code source pour qu'ils le lisent et s'instruisent.
  • Outils. Les professeurs peuvent distribuer à leurs élèves des copies des programmes qu'ils utilisent en classe pour qu'ils s'en servent chez eux. Avec le logiciel libre, la copie est non seulement autorisée, mais encouragée.

Responsabilité sociale

L'informatique est devenue une partie essentielle du quotidien. Notre société est en mutation très rapide du fait des technologies numériques, et les écoles ont une influence sur son avenir. Leur mission est de préparer les élèves à jouer leur rôle dans une société numérique libre en leur enseignant les savoir-faire qui leur permettront de prendre facilement le contrôle de leurs propres vies. Le logiciel ne doit pas être aux mains d'un développeur qui prend des décisions unilatérales que personne d'autre ne peut modifier. Les établissements d'enseignement ne doivent pas laisser les entreprises du logiciel privateur peser de toute leur puissance sur le reste de la société et sur son avenir.

Indépendance

Les écoles ont une responsabilité éthique : elles doivent enseigner l'autonomie, pas la dépendance vis-à-vis d'un seul produit ou de telle ou telle puissante entreprise. De plus, en choisissant d'utiliser le logiciel libre, l'école elle-même gagne en indépendance vis-à-vis de tout intérêt commercial et évite l'enfermement par un fournisseur.
  • Les entreprises du logiciel privateur utilisent écoles et universités comme tremplin pour atteindre les utilisateurs et ainsi imposer leurs logiciels à la société dans son ensemble. Elles proposent des réductions, voire des exemplaires gratuits de leurs logiciels privateurs aux établissements d'enseignement, pour que les étudiants apprennent à les utiliser et en deviennent dépendants. Une fois que les étudiants auront leur diplôme, ni eux, ni leurs futurs employeurs ne se verront offrir d'exemplaires au rabais. Ce que font essentiellement ces entreprises, c'est de recruter les écoles et les universités comme démarcheurs pour amener les gens à une dépendance permanente à vie.
  • Les licences libres n'expirent pas : une fois le logiciel libre adopté, les établissements conservent leur indépendance vis-à-vis du fournisseur. De plus, les licences libres donnent à l'utilisateur le droit, non seulement d'utiliser les logiciels comme il le souhaite, de les copier et de les distribuer, mais aussi de les modifier pour les faire répondre à ses propres besoins. Par conséquent, si un établissement décide de mettre en œuvre une fonction spécifique dans un logiciel, il peut recruter les services de n'importe quel développeur sans avoir à passer par le fournisseur initial.

Apprendre

Quand ils choisissent l'université où ils iront étudier, de plus en plus d'élèves tiennent compte du fait qu'elle utilise, ou non, le logiciel libre pour enseigner l'informatique et le développement logiciel. La liberté du logiciel signifie que les élèves sont libres d'étudier la façon dont fonctionnent les programmes, et d'apprendre à les adapter à leurs propres besoins. S'instruire au sujet du logiciel libre est aussi un atout pour étudier l'éthique et la pratique professionnelle du développement logiciel.

Économies

C'est un avantage évident qui attirera tout de suite de nombreux administrateurs, mais un avantage marginal. Le plus important, c'est qu'en étant autorisées à distribuer des copies des programmes à faible coût ou gratuitement, les écoles sont en mesure d'aider les familles qui ont des difficultés financières et ainsi de promouvoir l'équité et l'égalité d'accès au savoir parmi les élèves.

Qualité

Des solutions libres stables, sûres et facilement installables sont disponibles pour l'éducation dès à présent. De toute façon, l'excellence des performances n'est qu'un 
bénéfice secondaire, le but ultime étant la liberté pour les utilisateurs de l'informatique


Pourquoi l'éducation doit se servir de logiciel libre et l'enseigner

مشروع المؤسسات التعليمية بإسبانيا

Cours Français primaire Grammaire et méthodologie

Athlétisme : course, lancer et saut


Déroulement des séances

Un étudiant français sur trois a étudié en partie à l’étranger


Les étudiants français ont-ils pris le tournant de la mondialisation ? A cette question, Campus France, l’agence publique chargée de défendre l’enseignement supérieur français à l’étranger, apporte une réponse mitigée. Dans une étude, dont Le Monde a eu la primeur, elle montre notamment qu’en 2013 seuls 3,5 % des étudiants ont étudié hors des frontières ou que deux tiers ont terminé leur cursus sans aucune expérience de séjour à l’étranger.

Campus France a recueilli en 2015 le témoignage de 26 000 étudiants issus de 330 établissements. Et a également recoupé les données recueillies en 2013 par l’Unesco. Résultat : 73 400 Français étudiaient à l’étranger, soit 3,5 % des 2,1 millions d’étudiants français en France, et 3,1 %, si l’on prend en compte les 300 000 étrangers qui étudient en France. A titre de comparaison, en Allemagne, le taux est de 4,3 %. Il monte à 7 % en Norvège.
A première vue, 3,5 %, cela semble très peu. Mais la moyenne mondiale ne s’établit qu’à 1,8 %. Ensuite, si l’on prend en compte le nombre d’étudiants expatriés – et non plus la part qu’ils représentent –, la France fait plutôt bonne figure. Avec 73 400 étudiants partis, elle est 5e ex aequo avec l’Arabie saoudite. Les deux premiers sont la Chine et l’Inde, qui « exportent » respectivement 710 000 et 180 000 jeunes. Ces deux pays peinent en effet à répondre à leur demande interne. L’Allemagne, 3e, applique quant à elle une politique très volontariste.

« Génération ouverte sur le monde »

L’enquête de Campus France révèle, par ailleurs, que deux tiers des étudiants français terminent leurs études sans aucune expérience de séjour à l’étranger. « Nous avons essayé, dans mon université [Rouen] de favoriser le départ des étudiants, explique Jean-Luc Nahel, coordinateur des activités internationales à la Conférence des présidents d’université, mais nous avions du mal. Contrairement à ce que l’on croit, l’expatriation n’est pas un réflexe. » Partir deux ou trois semaines au bord de la Méditerranée avec des copains n’est pas la même chose qu’aller étudier six mois ou un an à l’étranger. L’éloignement de la famille et du (de la) petit(e) ami(e) peut vite devenir pesant.
D’ailleurs, quand on demande aux étudiants les raisons pour lesquelles ils ne veulent pas – ou ne peuvent pas – partir, quatre réponses recueillent chacune quelque 30 %. Parmi elles : le fait de ne pas avoir envie de quitter son environnement de vie. « Le manque d’envie fait partie des éléments qui remontent souvent du terrain », abonde Stéphan Vincent-Lancrin, analyste senior à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Là encore, une nuance s’impose : l’enquête montre en effet que 94 % de la génération actuelle des étudiants a déjà voyagé dans le passé, le plus souvent dans le cadre familial et touristique. « C’est une génération ouverte sur le monde, analyse-t-on à Campus France. Dans les années 1970, c’était A nous les petites anglaises. Dans les années 1990, L’Auberge espagnole. Aujourd’hui, c’est l’exotisme pour tous : la Thaïlande pour les moins fortunés et l’Amérique du Nord pour les autres. »
Donc, l’étranger, oui, mais pour le plaisir. Car partir pour « être plus compétitif sur le marché de l’emploi » n’est une motivation que pour quatre étudiants sur dix, tandis que 83 % mettent en avant « l’envie de voyager, de découvrir d’autres cultures », et 65 %, l’apprentissage d’une langue. Quand ils partent. De fait, 38 % des étudiants ne voulant ou ne pouvant partir considèrent que leur niveau linguistique « rend impossible le séjour ». Et pourtant, « désormais seuls deux étudiants sur dix n’ont aucun cours de langue obligatoire dans leur cursus », note Campus France. « On a fait beaucoup, assure M. Nahel. Aujourd’hui 1 250 diplômes universitaires sont dispensés majoritairement en anglais. Mais on a toujours un problème en France. Les gamins ne sortent pas du lycée avec un anglais fluide. » M. Vincent-Lancrin confirme cette spécificité française : il n’y a qu’en France, relève-t-il, que l’on met cet argument linguistique en avant. Partout ailleurs, c’est le coût du séjour à l’étranger qui constitue le premier obstacle au départ.

Les subventions ne font pas tout

Quoique secondaire, la question du budget importe, cependant, en France aussi. Campus France a calculé que le coût d’un séjour de six mois s’élevait en moyenne à 6 100 euros. Certes, quatre étudiants sur dix bénéficient d’une aide publique, laquelle couvre environ 40 % des frais.
Mais ces subventions ne font pas tout. Même si certaines régions sont très généreuses (jusqu’à 4 300 euros en Rhône-Alpes), « les aides publiques corrigent imparfaitement, voire aggravent les inégalités », note Campus France. Ainsi, la moitié des étudiants issus de familles connaissant de graves problèmes financiers assure n’avoir reçu aucune aide, quand 28 % de ceux dont les familles possédant un « niveau de vie très confortable » en ont, eux, bénéficié. « Les étudiants issus des foyers les plus aisés ont 66 % plus de chances de profiter d’une expérience internationale que les étudiants les plus modestes », note Campus France.
Et l’argent ne fait pas tout. Si c’est dans les familles les plus riches, où les parents ont eux-mêmes suivi des études supérieures, qu’on encourage le plus – et de loin – à l’expatriation, le contexte d’études joue également un rôle décisif. A l’université, les trois quarts des étudiants ne partent pas, contre 19 % seulement dans les grandes écoles. Dans celles-ci, l’expérience internationale est une tradition établie, souvent obligatoire. Côté universitaire, quatre étudiants sur dix ignorent qu’un service accompagnera leur départ à l’étranger. 5 % affirment même que les enseignants les dissuadent de s’exiler. « Il faut nuancer, tempère M. Nahel. Pour les étudiants qui se destinent à la recherche, il est souvent plus pertinent d’attendre le doctorat pour s’expatrier. Il est donc possible que certains enseignants conseillent de se dépêcher de faire le Master en France avant de partir dans un bon labo à l’étranger, ce qui est la clé pour donner du poids à sa thèse. »




Abdos avec Coach sportif - Renforcement musculaire 87

الأقراص و البرامج التربوية مادة العلوم الطبيعية و الحياة


الأقراص و البرامج التربوية

مادة العلوم الطبيعية و الحياة

علوم طبيعية

أسطوانة الأولى متوسط الجزء 1

7 أسطوانات خاصة بفلاشات علوم الطبيعة و الحياة للسنوات 1 و 2 و 3و 4 متوسط
الأستاذ الكريم: أحمد خوميجة للتواصل: ahmedkhomidja@gmail.com
علوم طبيعية

أسطوانة الأولى متوسط الجزء الثاني

7 أسطوانات خاصة بفلاشات علوم الطبيعة و الحياة للسنوات 1 و 2 و 3و 4 متوسط
الأستاذ الكريم: أحمد خوميجة للتواصل: ahmedkhomidja@gmail.com
علوم طبيعية

أسطوانة الثانية متوسط

7 أسطوانات خاصة بفلاشات علوم الطبيعة و الحياة للسنوات 1 و 2 و 3و 4 متوسط
الأستاذ الكريم: أحمد خوميجة للتواصل: ahmedkhomidja@gmail.com
علوم طبيعية

أسطوانة الثالثة متوسط الجزء الأول

7 أسطوانات خاصة بفلاشات علوم الطبيعة و الحياة للسنوات 1 و 2 و 3و 4 متوسط
الأستاذ الكريم: أحمد خوميجة للتواصل: ahmedkhomidja@gmail.com

الأقراص و البرامج التربوية

مادة العلوم الطبيعية و الحياة