Ce n’est pas «l’homme» dont l’appétit
pour les biens de la planète est sans limites, mais le capitalisme.
L’exploitation
sans limites de la force de travail achetée et l’exploitation sans limites et
jusqu’à épuisement des ressources naturelles
Le caractère immanent de
l’infranchissable barrière écologique et climatique
«Dans une
certaine mesure, Marx était déjà conscient du “problème écologique”,
c’est-à-dire des problèmes de l’écologie sous la domination du capital et des dangers
implicites que cela provoque pour la survie humaine.
L’informatisation, stagnation séculaire
ou limite infranchissable du capital?
pointe vers les
difficultés de gestion économique, sociale et politique de l’automatisation par
la bourgeoisie: celle-ci «remet en cause la cohérence des sociétés (chômage de
masse, polarisation entre emplois qualifiés et petits boulots, etc.) et aggrave
une contrainte essentielle, celle de la ‘réalisation’.
La notion de «barrières» ou de
«limites» au mode de production
En discussion:
savoir si la crise économique et financière mondiale de 2007-2008 peut
simplement être vue comme une «très grande crise» d’un capitalisme encore
capable de s’ouvrir une nouvelle longue phase de reproduction élargie à
l’échelle du «marché mondial enfin constitué»
Inquiétude sur les pays émergents
Aux Etats-Unis,
la relance budgétaire va faire exploser une dette publique déjà considérable.
La zone euro souffre aussi d'une dette publique élevée, sauf en Allemagne. Pour
les pays émergents, l'endettement extérieur a augmenté beaucoup plus rapidement
que leurs exportations.
« La bourgeoisie envahit le globe
entier »
Par
l'exploitation du marché mondial, la bourgeoisie donne un caractère cosmopolite
à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand désespoir des
réactionnaires,
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