le
président de la République, François Hollande, au cours
d’une conférence de
presse rendant
compte du sommet européen de
Bruxelles, a brièvement demandé à
l’Arabie saoudite de « renoncer à
l’exécution », se bornant à rappeler la
position de la France « opposée à la peine
de mort ». Un service
minimum qui ne risque
pas de troubler la quiétude du souverain, car
le chef de l’État
n’a pas eu un mot sur les
faits reprochés au condamné – avoir participé
à une
manifestation –, ni sur les conditions de
son procès – torture et absence
d’avocat –, ni fait
le rapprochement avec la condamnation à mort de
l’oncle du
garçon, le cheikh Nimr Al Nimr, un
animateur de la contestation de la
discrimination
frappant les chiites dans le royaume wahhabite.
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